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Un recueil froissé, ardent conte des rivages et des monts, des plaines sableuses et des falaises, des forêts imaginaires et des abîmes insondables. Par-delà les zébrures d''un ciel de steppe, il serait l'évocation d'un travail dans la langue : déplier, aplanir, déployer l'écriture au gré des reliefs de son âme. Façonner des paysages d'éden hanté par des gouffres. Une prose poétique s'écalerait vagabonde attisée d'un feu incandescent : chaque nouveau poème une coulée de lave brasillante

JUILLET 2024

« Une nouvelle ars poetica qui de façon subjacente et “solaire” nous “arrime” aussi à la nature, cette “nature refuge”, nature “vivace” qui nous dessille les yeux par la force du vent qui “feule” ou des paroles de ce “géranium odorant”. Ainsi, c'est naturellement que se dévoile “l'âme, crique lovée entre coeur et esprit” ».
C'est ainsi que se termine mon court et modeste avant-propos à ce recueil.
Je remercie Sylvain pour sa confiance, je lui souhaite de nombreux lecteurs et je vous invite vous aussi à découvrir sa poésie à nulle autre pareille.

Gabrielle DANOUX, écrivaine, traductrice

Une Blancheur
 

Jardiner ses mémoires échouées
 

​L'écriture parente d'un art de la taille travaillerait la langue comme le paysagiste viendrait ciseler un jardin Le récit court en duo avec le poème en prose esquisserait un recueil hybride, Écrire ses mosaïques et rosaces d'enfance, son village en Cévennes, l'art de Kandinsky ou de Satie résonnent...

MAI 2023

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